sizuka
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Sagot :

El cuento popular francés de Caperucita. Publicado en Cuentos por Alguien en 9 enero 2008 La versión de Caperucita roja que hoy os presento proviene de la recopilación de cuentos, Le conte populaire français de Paul Delarue y Marie Louise Tenèze, (París, 1976). Es un cuento popular francés del siglo XVIII, (tipo 333 según la clasificación estándar de Aarne-Thompson) perteneciente a la tradición oral campesina, destinado a ser narrado en las largas veladas de invierno, al calor de la lumbre. El texto se ha extraído del libro “La gran matanza de los gatos y otros episodios en la historia de la cultura francesa” de Robert Darnton (pag.15-16), editado por el Fondo de Cultura Económica, México, 1987. Es la primera versión oral conocida de Caperucita, (véase otras hermanas orales de Caperucita en este blog) una leyenda cruenta para asustar a niños y… divertir a adultos; sin caperuzas, ni moralejas, ni leñadores salvadores, distinta a la que actualmente contamos a nuestros hijos y de la que se nutrirán otras versiones posteriores… pero eso es ya otra historia… Había una vez una niñita a la que su madre le dijo que llevara pan y leche a su abuela. Mientras la niña caminaba por el bosque, un lobo se le acercó y le preguntó adonde se dirigía. – A la casa de mi abuela, le contestó. – ¿Qué camino vas a tomar, el camino de las agujas o el de los alfileres? – El camino de las agujas. El lobo tomó el camino de los alfileres y llegó primero a la casa. Mató a la abuela, puso su sangre en una botella y partió su carne en rebanadas sobre un platón. Después se vistió con el camisón de la abuela y esperó acostado en la cama. La niña tocó a la puerta. – Entra, hijita. – ¿Cómo estás, abuelita? Te traje pan y leche. – Come tú también, hijita. Hay carne y vino en la alacena. La pequeña niña comió así lo que se le ofrecía; mientras lo hacía, un gatito dijo: – ¡Cochina! ¡Has comido la carne y has bebido la sangre de tu abuela! Después el lobo le dijo: – Desvístete y métete en la cama conmigo. – ¿Dónde pongo mi delantal? – Tíralo al fuego; nunca más lo necesitarás. Cada vez que se quitaba una prenda (el corpiño, la falda, las enaguas y las medias), la niña hacía la misma pregunta; y cada vez el lobo le contestaba: – Tírala al fuego; nunca más la necesitarás. Cuando la niña se metió en la cama, preguntó: – Abuela, ¿por qué estás tan peluda? – Para calentarme mejor, hijita. – Abuela, ¿por qué tienes esos hombros tan grandes? – Para poder cargar mejor la leña, hijita. – Abuela, ¿por qué tienes esas uñas tan grandes? – Para rascarme mejor, hijita. – Abuela, ¿por qué tienes esos dientes tan grandes? - Para comerte mejor, hijita. Y el lobo se la comió.”espero k te siirva es lo uniko k enkontra ajjaj
bonjour esperons que vous servez l´information:)
Toc Toc est un œuf dur de la coquille et complètement zinzin. Il déborde d'énergie et d'imagination, et bien sûr, ne rate jamais une occasion pour faire le pitre.
Cette année, pour Pâques, il a décidé d'aller jouer à cache-cache avec les cloches, les poulettes et les œufs en chocolat dans le jardin de Jules et Roxane.
Le voici donc qui profite d'un moment d'inattention de maman pour se hisser sur le rebord de la fenêtre de la cuisine :
« A la une, à la deux, à la trois... Aaahh... »

Et oui, Toc Toc est vraiment dingo du ciboulot ! Il a sauté dans le vide, mais heureusement, il a tout droit atterri sur une touffe d'herbe puis rebondi sur la tête d'une poulette en chocolat.
« Est-ce que je peux jouer à cache-cache avec vous ? lui demande-t-il.
- Non non non, mon garçon, tu n'as pas le droit de jouer avec nous !
- Mais pourquoi cela ?
- Parce que tu n'es pas un œuf en chocolat voyons ! Toi, tu es un vrai œuf, avec du vrai blanc d'œuf gluant à l'intérieur. En plus, tu ne portes même pas de décorations. Allez, oust ! Ta place est dans la cuisine.Toc Toc s'en va un peu déçu, mais évidemment, il n'a pas dit son dernier mot : puisque c'est ainsi, il se déguisera en œuf de Pâques.
Il commence par se rouler dans la gadoue et s'enduit partout de boue cracra, comme s'il se tartinait de chocolat.
Puis il chaparde les pétales d'un bouton d'or, qu'il se colle, en guise de pastilles colorées, tout autour du bidon.
Il coupe enfin un bout de lierre et le noue tel un ruban autour de sa tête.

Fier de lui, il s'approche d'une flaque d'eau pour admirer le résultat :
« Ahhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! » hurle Toc Toc.
Il ne s'est jamais vu dans un miroir et sursaute en découvrant le reflet d'un œuf zinzin couvert de boue, avec de drôles de taches jaunes sur le ventre et les cheveux verts tout en pétard.
Après avoir repris ses esprits, il retourne du côté de la poulette en chocolat.
« Ha ha ha ! rit-elle. Tu te crois au carnaval ? »
Le plan de Toc Toc n'a donc pas fonctionné avec la poulette. Normal, songe-t-il, elle est experte en matière d'œufs.

« Ah tiens, il y a une cloche au fond du jardin. Je suis sûr qu'elle n'y verra que du feu ! »
L'œuf zinzin s'approche de la cloche et la salue en faisant mine de chercher une cachette :
« Bonjour, Madame la cloche. Votre chocolat a vraiment l'air délicieux.
- Le tien aussi, bel œuf de Pâques. Mais cache-toi vite, j'entends Jules et Roxane qui arrivent.
- Hi hi hi, ricane Toc Toc, elle ne m'a pas reconnu... Ah, les cloches ! »
Puis ils se glisse en vitesse entre les racines d'un arbre centenaire.« Oh la belle poulette ! s'exclame Roxane.
- Moi j'ai trouvé une grosse cloche, répond Jules, et tiens... un œuf bizarroïde... Mais il a l'air tellement craquant... »
Le petit Jules ramasse Toc Toc et le dépose dans son panier.

Un peu plus tard, à l'heure du goûter, Jules et Roxane s'apprêtent à déguster le fruit de leur cueillette de Pâques.
« Plouf plouf, je-vais-man-ger-une-cloche. Mais comme la reine et le roi ne le veulent pas, ce ne sera pas toi. Mais-un-œuf-bi-zar-ro-ïde ! » Et Jules s'empare de Toc Toc, qu'il avait remarqué depuis le début.
« Schrumpf, schrumpf, miamh..., s'emballe Roxane.
- Shbling ! Mais qu'est-ce que c'est que cet oeuf là ! » s'écrie Jules en recrachant un petit morceau tout blanc.
En fait, il vient de perdre l'une de ses quenottes qui bougeait déjà depuis plusieurs jours.
« Maman, maman, regarde, j'ai perdu ma première dent ! »

Cette année, grâce à un œuf farceur, les cloches de Pâques ne sont pas passées toutes seules. Elles ont finalement été accompagnées par la petite souris, venue, pendant le nuit, déposer une surprise sous l'oreiller de Jules.
Toc Toc lui, n'a jamais plus trompé personne : déjà bien dingo du ciboulot, il a en effet, depuis lors, été officiellement déclaré fêlé de la coquille !